Aide à la Rédaction Mémoire gratuite !

Rédiger un mémoire n’est pas anodin, cela nécessite des connaissances, non seulement rédactionnelles, mais aussi méthodologiques et évidemment, du domaine d’étude auquel fait référence le sujet de recherche. Partant de ces prémisses, il est plus facile pour un expert rédacteur de notre agence de rédiger votre mémoire de licence ou master, car il dispose de toutes les compétences nécessaires et effectuent ce type de travail depuis des années.

Cependant, les preuves empiriques dont nous disposons au fil des années passées à aider les étudiants à rédiger leur mémoire suggèrent que certaines sections du document, avec toutes les mises en forme sont assurées efficacement que des professionnels de la rédaction, disponibles sur notre plateforme. La seule condition est que l'étudiant nous fournisse toutes les données afin d'avoir la même vision de ce qui lui est demandé et de ce qu'il cherche lui-même à réaliser avec sa recherche.

Le cas le plus illustratif est celui de la rédaction du cadre théorique. Cette section a un caractère documentaire complet. Toute personne comprenant la structure argumentative de cette section et disposant de conseils sur les sujets à discuter peut rédiger un document inédit et compétent qui peut être inclus dans un mémoire.

Le chapitre méthodologique est une autre section qui peut être bien rédigée par nos experts rédacteurs. C'est probablement l'option la plus demandée, étant donné que de nombreux étudiants n'ont pas une connaissance suffisante des modèles de recherche et que, par conséquent, se tourner vers notre service d’aide à la rédaction de mémoire est l'option la plus raisonnable. En fait, c'est là que l’expertise de notre rédacteur expérimenté est plus utile car il aide à clarifier les idées que l'étudiant a sur sa thèse et sur la manière d'atteindre les objectifs ou la vérification de l'hypothèse.

Nous avons détecté que les cas dans lesquels la rédaction d'un mémoire n'est pas réalisable résultent du fait que l'étudiant intéressé ne dispose pas de suffisamment d'informations sur ce dont il a besoin ou sur ce qu'il recherche dans sa recherche. Autrement dit, lorsque vous n’êtes pas pleinement engagé. Comme nous le savons bien, les critères de rédaction d'un mémoire varient considérablement et on ne peut pas s'attendre à ce qu'une personne rédige un mémoire comme si elle avait un modèle. Il s'agit d'une conception pratiquement personnelle, réalisée sur mesure pour chaque étudiant en cycle de licence ou master. Et pour cela, des données et suffisamment d’informations sont nécessaires.

Heureusement, la plupart des gens trouvent une solution grâce à nos services de correction et de rédaction de mémoire, car ils savent clairement ce dont ils ont besoin et acceptent de commander une aide à la rédaction du mémoire pour dissiper tous les doutes possibles. Les bénéfices qu'ils obtiennent sont énormes puisqu'ils acquièrent non seulement une rédaction de mémoire de qualité qui s'adapte à leurs besoins, mais qu'ils peuvent optimiser leur temps et ainsi s'occuper de leurs autres obligations.

Cela dit, nous pouvons conclure qu'il est fonctionnel d'embaucher un professionnel pour rédiger le mémoire tant qu'il y a une communication claire entre les deux parties ; En même temps, débarrassons-nous de l’idée selon laquelle le mémoire est une tâche facile ; il s’agit plutôt d’un travail très personnel qui nécessitera toujours une implication de l’étudiant d’une manière ou d’une autre.

Travailler sur son projet de mémoire est sans aucun doute très stressant. Qu'il s'agisse de trouver le bon sujet pour votre mémoire, d'élaborer un bon plan de travail ou de rechercher toutes les sources d'information possibles, c'est une tâche qui semble infinie. Par conséquent, toute aide qui vous permet d’accélérer votre travail est inestimable. Commander une aide à la rédaction de votre mémoire est la seule solution pour évoluer rapidement.

Nous trouvons que le rythme de rédaction du mémoire est capital parce que c’est faire un travail de terrain pour répondre à une problématique d’actualité. Quand vous êtes obsédé par un projet de recherche, quel que soit le niveau (Bachelor, Licence et Master), il faut travailler plus dur et de manière plus indépendante. Il est normal de commencer à vous précipiter avant la fin de la formation. Comme tous les étudiants de tous les temps, vous ferez face à des défis personnels importants parallèlement à votre projet de recherche dévorant. Le reste de votre vie et les gens qui la composent ne peuvent pas s'arrêter pendant que vous vous inquiétez pour votre mémoire. Il semble que la seule façon d’avancer était d’accepter l’égoïsme et le chaos comme étant nécessaires, mais temporaires. Plus il y a de chaos, mieux c'est peut-être, car alors, vous ne pouvez pas vous permettre de trop vous enliser dans les détails et vous n'avez tout simplement pas le temps de vous ennuyer. Vous ne pouvez que continuer à avancer.

Alors que nos meilleurs conseils seraient de

1) commencer à analyser vos données à mi-chemin du travail sur le terrain (afin que vous puissiez explorer davantage les thèmes clés et leurs interprétations pendant que vous êtes encore sur le terrain) et

2) traiter le mémoire comme une ébauche finale dès que possible, afin d'éviter les brouillons multiples et la haine de soi et du mois.

Astuce 1 : Rappelez-vous pourquoi vous faites votre mémoire, puis surmontez-le et simplifiez la tâche

Après tout, il s’agit en grande partie de devenir professionnel et d’obtenir le diplôme. Si vous ne vous sentez plus intéressé par ce que vous faites, vous pouvez raviver votre intérêt en vous rappelant pourquoi vous avez commencé cela en premier lieu. Qu'est-ce qui vous a attiré ? De quoi êtes-vous le plus reconnaissant dans vos expériences de travail sur le terrain ? Pensez aux moments qui vous ont donné la chance d’être en vie et là. Pensez au temps partagé avec vos participants. Pensez à la façon dont votre vie vous a amené à le rechercher. Ensuite, réfléchissez à la justification que vous avez donnée à votre université pour rendre votre projet utile à la société (et mentionnez cette « lacune en matière de recherche » dans l’introduction de votre mémoire).

Cependant, une dure vérité qui doit être acceptée est que personne ne se souciera de votre travail comme vous. Travailler avec passion pour son projet de recherche, c'est aussi apprendre à gérer l'ego fluctuant qui y est attaché : « je fais un travail tellement important et je veux que les gens le prennent aussi au sérieux que moi », suivi de « Je n'ai aucune idée de ce que je suis » et « Comment vais-je rendre suffisamment justice à mes participants ? »

Mais l’anxiété de l’ego est peut-être le point à partir duquel faire un mémoire peut devenir important. En abandonnant les perfections, mes idées et mon écriture sont également devenues plus simples à lire pour les autres.

Une autre dure vérité que vous devrez peut-être encore accepter est que vos idées les plus simples sont souvent les plus fortes. Elles ont aussi tendance à nous venir à l'esprit au début, à la sortie du terrain, mais nous les remettons à outrance de peur qu'elles soient trop évidentes. Il peut être préférable de conserver les idées plus complexes pour plus tard. De plus, vous auriez toujours pu faire plus avec les idées qui aboutissent dans votre mémoire.

N'oubliez pas : personne ne vous lisant ne connaîtra toutes vos données, votre analyse, toute la théorie, et n'y aura pas réfléchi autant que vous. Ce que vous devez d'abord démontrer, c'est votre capacité à rassembler l'essentiel d'une manière scientifique qui semble fidèle à ce que vous avez observé, au-delà de plaire à toute personne impliquée (y compris vous-même et toute poursuite de la perfection).

Quant à la façon dont vous gérez vos données et votre rédaction, recherchez un bureau minimaliste. Essayez de ne pas ouvrir plus de trois choses à la fois. Archivez des choses dont vous savez au fond qu'elles ne sont peut-être pas pertinentes ou des articles que vous n'aurez en réalité pas le temps de lire. Vous pourrez toujours y revenir plus tard. En plus d'avoir un fichier numérique pour chaque chapitre, déplacez le contenu de chaque fichier sur votre bureau pendant que vous y travaillez, afin que le reste de votre mémoire ne soit pas trop visible au premier plan. L’alternance entre lecture et rédaction fonctionne bien chaque fois que vous travaillez sur un aspect singulier de votre mémoire.

Astuce 2 : faites un effort mais faites le plein régulièrement

Nous avons tous entendu l’analogie selon laquelle faire un mémoire, c’est comme courir un marathon. Vous devez vous préparer, prendre votre rythme et faire tout ce qu’il faut pour atteindre la ligne d’arrivée. Les bons coureurs de marathon ont besoin de beaucoup de nourriture tout au long du parcours et ne s'arrêtent pas plus longtemps que ne le permet un ravitaillement rapide. Ils donnent aussi tout ce qu'ils ont vers la fin, malgré leurs blessures. Ils ont déjà consacré beaucoup d'efforts à l'entraînement et veulent s'assurer que cela vaut la peine de rater toutes les autres choses qu'ils auraient autrement pu faire avec leur temps.

Par vous pousser, il est important de développer de bonnes habitudes qui vous permettront de rester dans la zone et de vous permettre de continuer assez longtemps pour continuer. Tout d’abord, il n’est pas utile de lésiner sur le sommeil, les repas ou l’exercice. Si vous le pouvez, trouvez des moyens de donner la priorité au sommeil avant tout. Bien que ce ne soit pas toujours possible, pendant votre cursus universitaire.

Lorsque vous êtes fatigué, votre travail devient plus bâclé et votre niveau d'empathie diminue également (il ne reste plus aucune ressource), il devient donc plus difficile d'être là, ce qui exacerbe les problèmes interpersonnels et l'angoisse du mémoire. Si vous avez la chance de pouvoir contrôler combien vous dormez, consommez et faites de l'exercice, soyez-en conscient afin que la seule pression pour être meilleur vienne de vous et non des autres.

Deuxièmement, mettez en œuvre des stratégies pour maximiser votre concentration et votre motivation pendant que vous travaillez.

Gardez à l’esprit l’utilité des stratégies à différents moments. Faites ce que vous pouvez pour concentrer toutes vos pensées sur votre mémoire lorsque vous atteignez la dernière étape.

N'attendez pas d'avoir terminé votre mémoire pour faire des choses qui vous aident à penser à la vie au-delà. Récompensez-vous en cours de route et pensez à cela comme aux gels sucrés que les marathoniens utilisent (au lieu de penser à un gros prix à la fin, ce qui pourrait vous faire du mal).

Une dernière chose qui est importante, c’est d’essayer plus fort et de faire le plein davantage, c'est que, contrairement à ce qu'on peut dire, le syndrome de l'imposteur peut être utile. Même si le doute était parfois paralysant, être dur avec soi-même, avoir le sentiment qu’on a tellement plus à prouver que tout le monde et qu'il y avait de fortes chances qu’on ne termine pas, peut faire peur et aider à finir.

Une tendance au perfectionnisme, et surtout à envoyer au superviseur les chapitres, pour augmenter les chances de vite finir.

Mais pour le plaisir de faire le mémoire, douter que quelque chose soit bon signifie que vous travaillerez probablement plus dur pour obtenir l'approbation et que vous aurez terminé littéralement avant de vous en rendre compte. Un avertissement : le syndrome de l'imposteur peut devenir problématique lorsque vous acceptez l'aide de quelqu'un qui veut vous aider ; vous devez apprendre à choisir votre aide avec soin et à faire confiance à votre instinct, voire à votre intellect.

Astuce 3 : Écrivez avec un but au lieu de compter les mots

Nous comparons que la progression de la rédaction d’un mémoire est un peu comme une perte de poids durable. Compter les calories ou les pas n’est pas aussi efficace que de savoir comment votre corps se sent lorsque vous mangez ou faites de l’exercice. Mais cette dernière nécessite plus de patience et d’attention à ce qui se passe.

Bien que viser le nombre de mots chaque jour puisse fonctionner dans une certaine mesure, ce n'est pas encourager le contrôle qualité ou une passion pour le contrôle qualité qui conduit à une rédaction de meilleure qualité. Bien sûr, commencez à écrire quelque chose, n'importe quoi, pour commencer, mais il viendra un moment où vous vous sentirez plus submergé par tous ces mots qui ne figurent pas encore dans votre mémoire actuel et qui s'ajoutent à l'énorme pile de données que vous n'avez pas encore ou n'ont pas encore été sélectionnés.

Vous devez avoir un plan global pour ce que vous rédigez. Dès que vous avez une problématique claire et un argumentaire plus poussé (encore une fois, ceux-ci doivent être aussi simples que possible), vous pouvez commencer à identifier le nombre de chapitres dont vous avez besoin pour expliquer cet argument, puis planifier les sections/sous-arguments pour chaque chapitre.

Mais, l’astuce consiste à concilier les idées rapidement afin qu’elles ne débordent pas. Elles devaient être accessibles pour les transplanter dans un projet ambitieux. Gardez à l’esprit l’énoncé de votre objectif principal, en essayant de concentrer vos énergies sur les objectifs secondaires.

Vous devez consacrer deux semaines à un mois par chapitre en adoptant la mise en forme adéquate du travail final. Les références et notes de bas de page doivent être faites au fur et à mesure. Modifiez au fur et à mesure en relisant la section précédente que vous avez rédigée. Cela vous prépare également à la section suivante et vous tient au courant de vos arguments.

Astuce 4 : appréciez les limites nécessaires de l’encadrement du mémoire

Nous nous sommes rendu compte que l’un des principaux obstacles qui empêchent les étudiants de réaliser efficacement leur mémoire est un mauvais encadrement. Votre superviseur doit vous soutenir que dans la mesure où vous le permettez et dans la mesure où votre travail l'exige. Si vous souhaitez faire votre mémoire plus efficacement et communiquer plus efficacement, vous devez élever vous-même ces normes.